dimanche 28 novembre 2010

De Ollantaytambo a Aguas Calientes

Apres une bonne nuit, nous nous preparons pour la visite de la forteresse d'Ollantaytambo, avant de prendre, en debut d'apres-midi, le train vers la ville d'Aguas Calientes aux portes du Machu Picchu.



Reveil sur les montagnes.

En regardant bien, on doit y voir le profil d'un heros Inca :
Wiracochan

Si vous l'avez raté, le voici...

Vue d'Ollantaytambo

Sa forteresse.
La pluie et une petite crise de vertige pour Alex ont ecourté a mi-chemin notre ascension de la forteresse. En fait des le reveil, Alex etait schaffouine...

Un petit mate de coca plus tard, et nous voila a la gare, direction Aguas Calientes.

La gare et sa porte d'entrée Inca.

Le train a vision panoramique.

Le train se faufile dans la vallée.
Arrivés 2 heures plus tard, a Aguas Calientes, petite ville qui ne vit que pour et par le Machu Picchu. Une concentration de touristes au m2 impressionante, et une atmosphere particuliere coincee au milieu des montagnes.

La rue principale.

Toujours la rue principale.

La plaza das Armas.

Les montagnes environnantes.


Le petit condor s'est posé sur la terrasse de notre chambre. 


Vue de nuit depuis la terrasse.


Sur les conseils de Philippe et du Routard, nous sommes allés diner assez tot dans le meilleur restaurant de la ville, l'Indio Feliz, tenu par Patrick, un francais haut en couleurs afin de nous laisser le temps de digerer pour etre en forme et nous lever a l'aube pour le Machu Picchu. En effet, Aguas Calientes, ville de transit, jouit d'une reputation deplorable quant a la fraicheur des aliments proposés a ses visiteurs. Le repas fut en effet tres bon, et Patrick nous a vanté, a la fin de l'excellent repas, la qualité de ses produits, et nous a d'ailleurs offert un cocktail special a base d'alcool de racine d'arbre et de lait.
Ironie du sort, quatre heures plus tard, nous n'avions toujours pas digerés. Resultat, nous avons passé une nuit atroce a vomir nos tripes chacun notre tour. On soupconne l'indien joyeux de nous avoir empoisonné avec son cocktail bizarre a base de lait certainement plus tout jeune.
Le reveil prevu a 5h du mat etait bien mal engagé. Vers 10h du matin, on s'est motivé comme on a pu pour nous lever et prendre le bus vers le Machu Picchu...On etait verts de le faire dans ces conditions mais on n'allait pas renoncer si pres du but !

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